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Le jour pour célébrer l'existance de notre terre.

Au Québec, c'est depuis 1995 qu'on le célèbre en organisant toutes sortes d'activités de sensibilisation face aux enjeux environnementaux. Le Jour de la Terre fait résonner haut et fort le message que des citoyens de toute la planète souhaitent une action rapide et décisive en faveur de l'énergie propre.

Gaylord Nelson, sénateur du Wisconsin, a proposé la première protestation environnementale d'envergure sur le territoire américain pour secouer l'establishment politique et forcer l'insertion de la problématique environnementale à l'agenda national.

Aujourd'hui, c'est plus de 500 millions de personnes dans 184 pays qui passent à l'action chaque année dans le cadre du Jour de la Terre. Au fil des ans, le Jour de la Terre est devenu l'événement participatif en environnement le plus important de la planète.

Le premier Jour de la Terre a mené à la création de l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (EPA) et à l'adoption de la loi « Clean Air, Clean Water, and Endangered Species ». En 1990, sous l'égide de l'environnementaliste américain Denis Hayes, le Jour de la Terre est devenu un événement planétaire, mobilisant 200 millions de personnes dans 141 pays et jouant un rôle de levier pour les enjeux environnementaux globaux. Le Jour de la Terre a donné une poussée énorme aux campagnes de sensibilisation à la réutilisation et au recyclage et a aidé à préparer le terrain pour le Sommet de la Terre des Nations Unies à Rio de Janeiro en 1992.

Il est arrivé une terrible catastrophe à  Virginia Tech. Un homme a fait 33 morts.

Cho Seung-hui a fait ses premières victimes dans la résidence de l’université. Il a ensuite quitté le campus pour se diriger dans l’établissement scolaire où il a abattu trente autres humains, soit 25 étudiants et cinq professeurs avant de s’enlever sa propre vie.

Les policiers ont déduit que le tireur avait du se préparer et s’entraîner depuis un long moment déjà. Il a tiré avec autant de sang-froid que s’il était dans une salle de tir, d’autant plus que ses cibles étaient mouvantes.

Pour l’instant, l’enquête n’a pas encore permis de déterminer comment cet étudiant qui préparait une licence d’anglais, avait choisi ses victimes. « À l’heure d’aujourd’hui, nous n’avons pas de motif» a annoncé le responsable de la police de l’État de Virginie, Steven Flaherty.

Les autorités tentent donc d’expliquer le geste de cet élève. Apparemment qu'il était à la recherche de sa petite amie. Les enregistrements envoyés à NBC démontrent qu’il était un être rempli de haine et de violence.

L'université a conçu des services d'aide psychologique pour les survivants. Les jeunes et les professeurs ont la possibilité de consulter des psychologues. Parler est, selon eux, une des meilleures façons de traverser cette rude épreuve. Tous s’entendent pour dire que de vivre une tuerie est l’une des expériences les plus traumatisantes dans le parcours d’un humain et ce, peu importe l’âge.

Ceci laisse place à bien des débats. Le contrôle des armes à feux. Les jeux vidéo violents. Les films d'horreur ... Il y a certainement là des liens à faire avec les nombreuses tueries dont sont victimes les écoles depuis quelques années. Mais il faut assurément faire la part des choses. Interdire tout ce qui est violent n’est clairement pas la solution. Il faut sensébiliser les gens à la violence.

Un film documentaire qui démontre les stéréotypes québécois très étrange. C’est l’histoire d’une gang de jeunes adultes, en majorité des gars. Environ 20 ans. Ils prennent du bon temps aux Etats-Unis, à Daytona Beach. Ils se confient à la caméra, racontent leurs mésaventures, leurs petits troubles personnels, leur vision du monde… Justement, c’est la vision du monde pitoyable qu’ont cette troupe de touristes stéréotypés qui donne une saveur bien particulière au film. Ils semblent avoir quelque chose à dire sur tout : la vie, globalement, la drogue, la situation du Québec, le destin, la mort, le sexe, les filles… Pourtant, tout ce placotage, ces prises de positions et ces petites histoires ne font que masquer le vide profond de ces gars incapables de maîtriser leur excédent de testostérone. Une question existentielle posée aux vacanciers revient tout au long du film. « Té tu heureux?». À cette question, la plupart des gars répondent que «oui, j’suis heureux. Pourquoi que je serais pas heureux? J’suis à Daytona, j’vis au Québec, j’ai pas ben gros de l’argent mais j’suis heureux.» Et plus tard, dans quelques années, tu vas être où? « Ben j’vais être à même place que toi, et que toi, et que toi. Travailler de neuf à cinq, rentrer chez nous, prendre une bonne bière parce que j’ai fini ma journée de travail. Me coucher. Me réveiller le lendemain, aller reconduire mes enfants à la garderie et repartir travailler. M’as être heureux. C’est ça être heureux.» Vide. C’est principalement ce qu’on nous montre dans ce reportage. Leur vie est parfaite, ils sont heureux, c’est ce que cette gang de gars pensent. Cependant, tous les commentaires, les témoignages et les péripéties nous démontrent tout le contraire. On nous expose le vide de l’existence de ces pauvres gamins dans l’âme, aspirant à devenir ce qu’il faut devenir. Bref, on dépeint le stéréotype d’une vie d’illusions, d’espérances et d’espoirs déchus.

Cette année pour les élections il n’y a pas grand chose de vraiment nouveau, toujours les même sujets en jeux : santé, l'éducation, l'environnement. Les pénibles promesses électorales de tout ces faux nez qui ne voit pas encor notre problème et qui ne désirent pas présenter un plant d’action réaliste, sans promesse en l’aire.

«Eh bien, notre parti s'engage sur six terrains glissants, soit la santé , l'éducation, l'aide à la famille, la création de richesse, le développement durable et l'environnement. Nous promettons également un contrôle des dépenses, une diminution des coûts de gestion, une réduction du rôle de l'État, une réduction du poids de notre dette et un retour à la moyenne canadienne des impôts au Québec. Un référendum serait tout à fait inapproprié pour le Québec à l'heure où l'on se parle. Nous avons besoin de s'unir pour prospérer. André Boisclair veut la division du Québec. En d'autres mots, il veut la dégradation du Québec que l'on a mis tant de temps, de forces et d'amour à bâtir. Et avec l'ADQ, laissez-moi vous dire qu'on n'ira pas loin. Un parti aussi simpliste ne peut faire évoluer le riche territoire qu'est le Québec.»

Voici un discours de monsieur Charest avec toute sa grandeur, il parle évidemment de la façon dont il considère ses opposants et comment il veut notre bien, ou celui de notre portefeuille. 

«Vivre le Québec libre! Ensemble, nous pouvons enfin régler la question de la souveraineté nationale du Québec. La séparation du Québec permettrait la réalisation rapide de projets qui nous tiennent à cœur, nous, québécois fiers de leur langue et de leur culture. Beaucoup d'autres domaines suscitent l'intérêt de notre parti à nous, fiers québécois : la santé l'éducation , l'environnement, l'économie, la santé, les régions, la solidarité et l'administration publique. M. Charest a échoué sur toute la ligne dans son mandat précédent. Nous ferons en sorte de faire tout le contraire.»

Et maintenant, un discours de notre cher monsieur ou madame Boisclaire nationale, je trouve que ses discours pour avoir un Québec libre n’est pas vraiment engagé, ils ne possèdent pas la même passion que ses prédécesseurs.

Maintenant, je vous présente le discours de l’ADQ, dirigé par Dumont.

« Notre parti s'engagera sur différents aspects, soit l'éducation, la santé, la justice, le développement régional, l'environnement... Depuis plusieurs années, la politique déçoit par la fausseté de ses discours et le non-respect de ses engagements : le Parti Libéral du Québec ne nous mène nulle part, le Parti Québécois tourne en rond. Notre parti n'a pas peur de pointer du doigt les choses à améliorer. Et ensemble, nous pourrons réussir. Votez ADQ, pour affirmation, autonomie, action et avenir.»

Ce n’est pas ci difficile de pointer du doigt les deux autres parties car l’ADQ n’a pas vraiment déjà vécu les même problème que c’est deux parties, mais devrions nous laisser une chance à ce parties qui ferait peut être quelque chose de bien, qui sais.

C’est une télésérie américaine qui a été traduite en français pour le plaisir de plusieurs personnes. Dans cette émission nous pouvons y retrouver beaucoup de suspense, de drame et aussi d’action en n’en plus finir. Le personnage principal, Jack Bauer, est très attachant. Il travail pour une unité pour contrer les terroristes. Il est souvent au centre des péripéties qui peuvent devenir redondante. Au début c’est plaisant mais après avoir visualisé cinq séries, je trouve que le réalisateur aurait peux faire changement pour l’intrigue. L'action est également caractérisée dans chaque saison par une intrigue complexe qui manipule le spectateur au travers de multiples rebondissements. Puis pour je ne sais quelle raison, tout les attentats terroristes sont reliés à la ville de Los Angeles. Le rôle des acteurs est très bien interprété, nous pouvons découvrir plusieurs nouveaux talents d’acteur. Par contre, pour une actrice, celle qui joue Kim Bauer la fille de Jack, ce fut très difficile de l’endurer durant la première série. Elle jouait le rôle d’une jeune adolescente écervelé, niaiseuse et très irritante. Il faut aussi avouer que le concept de 24 heures est bien pensé, mais il y a certain événement où il est impossible de le mettre dans un épisode d’une heure et même dans une série de vingt-quatre heures. Nous pouvons aussi constater que la première série est beaucoup liée à l’attentat terroriste du onze septembre 2001. C’est peut être pour cette raison que cette télésérie à subi un succès aussi grand aux États-Unis. Donc je vous conseil d’essayer de visualiser un épisode de cette télésérie pour ensuite avoir la piqure.

bonjours!!!!

voici un lien qui vous permettra de visualiser l'interview le mieux réussit depuis de nombreuse années.

http://www.youtube.com/results?search_query=Anita+et+Fidel+Lachance

J'èspère que vous allez aprécié.

De plus en plus la cause du racisme est un sujet très dangereux à aborder. Il faut avoir de bonne information et être prêt à faire face à des gens qui ne partagent pas les mêmes convictions.

Le journal de Montréal a publié un sondage sur les québécois qui se disent racisme. Les résultats sont alarmants, car il y a plus de racisme que de personnes qui tolèrent les autres religions selon ce sondage. Nous pouvons aussi nous dire qu’il y plus de québécois encor qui sont racisme, car certains disaient ne pas être racisme pour bien paraitre, donc les résultats ne sont pas exacts mais ils nous donnent une approximation.

Le journal de Montréal à oublié de montrer par contre le deux côté de la médaille, ce qui a amplifié l’effet de ces résultats. Nous ne savons pas si par exemple les Arabe sont aussi racisme, nous mettons la faute sur les québécois mais ce ne sont pas les seuls racismes.

Le journal de Montréal n’écrit pas la façon dont il s ont posé la question, car ils auraient peux  influencer les personnes qui ont accepté de participer au sondage. Nous ne savons pas non plus de quelle nationalité sont les personnes qui ont répondu au sondage. Pour la plus part du temps les gens ne connaissent pas réellement les gens des autres nationalités.

Avec la guerre au Moyen Orient, les attentats terroristes et les autres événements de ce genre n’aident vraiment pas à avoir un sondage juste. Puisque les médias amplifient les événements et nous font pencher plus d’un côté que l’autre.

Je ne crois pas que les québécois soient si racisme que le dit le sondage et l’article, car je vis à tout les jours avec des personnes d’autres nationalités et nous nous côtoyons avec respect qu’il soit blanc, noir, jaune ou à turban.

Par contre je crois que l’accommodement raisonnable est trop poussé, car nous ne pouvons pas changer toute nos façons de vivre et de fonctionner pour les autres minorités qui n’y sont pas habitué. Si ils veulent venir habiter au Québec c’est certain que ce ne saura pas comme dans leur pays, ils doivent s’attendre à faire des changements dans leur façon de vivre. Puisque le taux de natalité est à la baisse je crois que c’est juste d’accepter des émigrants, mais avec certaines règles.

«Saw 3», voilà comment ce nomme le film minable que j'ai visualisé la fin de semaine dernière. Je m’étais préparé pour un film d’horreur avec une certaine logique dans les meurtres ou autres atrocités, mais malheureusement tout était prévisible et que dégoutant, sans sursaut ou sans donner des frissons. Le film ne provoquait que des envies de vomissement, les intrigues manquaient de finissions. Pour terminé, nous pouvons dire que le réalisateur a réussi la fin du film, car c’est la seul partie de ce film qui nous laisses perplexe et qui fait imaginer la suite aux spectateurs. Donc, je ne vous conseille pas d’aller voir ce film.

« The motorcycles diaries », un film sur la vie du grand homme politique, Che Guevara.  Ce film a été tourné en espagnol afin de rester dans l’univers réel de l’Amérique latine où il a d’ailleurs été tourné. C’est Gael Garcia Bernal qui joue le rôle de Ernesto Guevara de la Serna, et qui trensmet très bien les sentiments de ce dernier.

Un très bon scénario pour ce film biographique. Malgré, que durant le film il y a des longueur, le réalisateur à su nous replonger dans l'aventure en illustrant des danse par exemple. Les paysages sont fabuleux et ils ont une joie de vivre qui semble irréel. Les acteurs rendent le film encore meilleur en se fondant littéralement dans leur personnage. Le fait de voir Alberto Granado, le meilleur ami de Che Guevara à la fin du film est vraiment un moment magique, on réalise alors toute la véracité de l’histoire. Bref, je vous conseil de le louer.

La fidélité, l’objectif ultime de quasiment tous les couples qui se respectent selon eux. Par contre, cette fidélité que chacun recherche n’est-ce pas une fiction, une idéologie que les gens se créé pour dire qu’ils sont normal sexuellement ou en relation selon les normes que la religion a su imprégner dans notre société. Selon certain si vous êtes en couple c’est parce que vous aimez l’autre, mais les jeunes qui se disent « je t’aime » dès l’âge de 10 ans, avec le temps est-ce qu’ils savent la vraie signification tu terme « aime » . Alors le couple parfait est de plus en plus dur à trouver et rester fidèle enverre l’autre. Puis lorsque vous apercevez quelqu’un de votre goût dans la rue, ce n’est pas parce que vous avez une blonde ou un chum que vous ne pouvez pas penser à ce que vous pourriez faire avec cette autre personne. En plus dans notre société ils nous disent de plus en plus d’avoir une vie sexuelle des plus épanouies possible, alors si cette infidélité n’est que pour le sexe, qu’est-ce que cela peut changer envers la personne  qui reste avec vous. Vous sauriez entrain de brimé le plaisir de l’autre si vous refusiez qu’il s’épanouisse, par contre si c’est toujours avec la même personne alors là ce n’est plus que pour le sexe et c’est à ce moment là qu’il est rendu temps de prendre les décisions sur le couple. On peut dire que la fidélité dépend des valeurs que la personne possèdent, c’elles que ses parents lui ont inculqué. Chacun possède son point de vu sur ce sujet.

p.s.: je possède un opinion complètement inverse à ce que j'ai écrie mais c'était plus facile d'écrire sur ce point de vue.